• Gaspard Ulliel, brillantissime dans le rôle d'Hannibal Lecter
    . Je suis allée voir ce film hier soir avec des amis. J'étais d'abord un peu déçue de me plier à leur volonté d'aller voir ce film qui ne m'inspirait rien qu'au titre un dégoût profond : Hannibal Lecter, les Origines du Mal. Je m'attendais à un fantastique spectacle de boucherie qui m'aurait dégoûtée pour les mois à venir, pas plus que ça emballée par les « il est trop beau Gaspard Ulliel ! » d'une certaine demoiselle qui nous accompagnait. Et là... Surprise agréable, je dirais plutôt fascinée. Ledit Gaspard Ulliel, au sommet de son art (je demande à avoir des preuves si on me dit que non), incarne à la perfection le sujet psychiatrique qu'est le célèbre serial killer, et ce à ses débuts. Ce film a pour objectif de nous conter les débuts de l'horreur, les origines du mal qui ronge Hannibal Lecter, fils d'une ancienne famille aristocratique vivant dans leur château en Europe de l'Est, devenu le tueur le plus fascinant de l'histoire de l'humanité (si on peut se permettre d'être fasciner par un tueur...). Le film est si bien tourné qu'on en arrive presque à soutenir Hannibal. Enfin plutôt on a peur qu'il se fasse attraper par le flic qui lui court après ou qu'il se fasse tuer par ses ennemis. Dans un bon vieux film d'horreur, on est content quand le « grand méchant » se fait zigouiller. Là on prit pour qu'il reste en vie... tout en sachant qu'il le restera (Pas de Silence des Agneaux, ni d'Hannibal sinon) ! Les images sont choquantes, mais à des lieux des films « gore » où tout le monde se fait décapiter dans tous les sens. Disons que là c'est de la boucherie différente de la boucherie habituelle (Oui c'est bel et bien de la boucherie -_-‘ Dégueulasse...). J'ai adoré ce film. Je sais que ce ne fut pas le cas de tout le monde. C'est une question de goût, plus que de cinéphilie. D'ailleurs je ne prétends aucunement avoir la moindre connaissance concrète en matière de cinéma. J'espère qu'il y aura un autre film avec Gaspard Ulliel en Hannibal Lecter, le rôle lui va comme un gant.

     Voilà pour le cinéma. Pour conter la suite de ma soirée, on est allé danser après le film. Au bon vieux dancing de par chez nous. Je suis d'humeur assez tristounette aujourd'hui... Je dirais même complètement démoralisée. Et pour cause, j'ai été profondément déçue par un homme que je tenais en haute estime. Finalement il n'est pas bien différent de tous ses « potes »... Je comprends pourquoi il est désespérément célibataire malgré sa jolie bouille et ses manières douces et convaincantes... M'enfin bref. Ca va passer. J'espère juste ne pas le revoir avant un moment.



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